Il s’agit d’une consultance dirigée par le Prof Aline pour la partie qualitative et le Prof Marie-Rose pour la partie quantitative. Msc Ancert Mushagalusa et Christine Musharhamina ont assuré la gestion et le suivi du projet. Le but de ce projet de recherche est de développer un instrument pour le Global Survivor Fund qui examine l’impact des interventions réparatrices du  Global Survivor Fund sur la vie quotidienne des survivants dans les contextes où le Global Survivor Fund opère, et qui examine la participation des survivants dans ses interventions. Pour ce faire, ce projet de recherche examinera dans quelle mesure le bien-être des survivants est amélioré par des interventions réparatrices. Le projet étudiera également ce que ces pratiques et la participation des victimes à ces interventions signifient dans la vie quotidienne des survivants, des membres de leur famille et des communautés.

Les différentes (3) phases ont été développées à partir de la partie quantitative avec 25 personnes interrogées dans chacun des 4 sites du projet (Minova, Kaniola, Kasika et Kananga). Une approche par questionnaire et l’approche « photovoice » ont été utilisées pour la collecte de données qualitatives.

Les rapports de la troisième phase sont donc finalisés.